
| Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract |
Le précédent et l’actuel éditeurs de la revue “Meat Science” ont tracé l’historique des recherches sur la viande au dernier congrès international sur les sciences et les technologies des viandes à Dublin en Août 2016 dont un résumé est présenté ici.
Meat has been the centre point of most people’s diets for thousands of years, and over the last 50 or so years, millions of man hours and even more euros have been spent on research and development in the area. Has Society (including the Meat Industry) benefited from this massive outlay in time and money?
It is an almost impossible question to answer, and the answer may well depend on the individual. Without doubt, much of our present understanding of meat science and technology was developed prior to 1970 and it is difficult to identify one single major advance in the intervening years that can be described as ground breaking, though undoubtedly several developments have led to consumers becoming more confident that a meat or meat product will live up to expectation.
Fifty or so years ago, colour and texture were seen to be major problems in meat marketing, and colour became more important with the advent of centralised butchery and packaging and much research was thus directed at this problem, even though a good basic understanding was already known.
| Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract |
La conduite des agneaux dans les pâturages steppiques d’Algérie ne modifie pas la teneur en gras de la viande, mais augmente la stabilité oxydative de ses acides gras.
L’élevage occupe une place assez importante dans la production agricole algérienne. En 2017, l’Algérie comptait un cheptel de 26 millions de têtes pour l’espèce ovine. L’Algérie dispose de superficies cultivables très limitées (3,4% de la superficie totale) et dont la fertilité est généralement faible pour subvenir aux besoins d’une population croissant rapidement (Nedjraoui, 2010). L’Algérie compte beaucoup sur ses importations pour soutenir l’agriculture et satisfaire aux besoins alimentaires de sa population. Ainsi, par exemple, en 2015, l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a importé 300 000 tonnes d'orge destiné à l'alimentation de bétail pour soutenir la filière élevage (MADR, 2015). On peut penser que cette stratégie de dépendance vis-à-vis d’autres pays sera risquée sur le long terme.
| Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract |
Le système EUROP de classification des carcasses contient 4 indicateurs peu informatifs. Cette étude propose, à partir d’une revue de la littérature scientifique, un jeu d’indicateurs complémentaires au système EUROP dans le but de caractériser plus précisément les carcasses en abattoir.
De nombreux systèmes de classification des carcasses bovines sont utilisés dans le monde afin d’évaluer leur valeur et organiser leur commercialisation. Ces systèmes mettent en avant les caractéristiques principales pour distinguer les carcasses les unes des autres. Selon les pays, le nombre (n= 4 à 14) et la nature des indicateurs utilisés varient fortement (Tableau 1). Le système EUROP contient en plus du type racial (lait ou viande) seulement 4 indicateurs, qui sont peu informatifs. Il ne permet pas de prendre en considération la complexité et l’hétérogénéité qui caractérisent une carcasse. De ce fait, au sein d’une même classe du système EUROP, des carcasses peuvent présenter des proportions variables de muscles et de parties non valorisables, ou des proportions variables de muscles à très haute valeur marchande.
Au sein de la filière viande, la carcasse est à l’interface entre l’éleveur, l’abatteur et le revendeur. Ces acteurs ont des objectifs de valorisation différents (Nielsen et Jeppesen, 2001 ; Dockès et al., 2011). Comme l’utilisation du système EUROP est obligatoire en Europe et que les critères de paiement s’appuient en grande partie dessus, l’éleveur cherche, tout en considérant ses charges d’élevage, à produire des animaux qui donneront des carcasses lourdes, avec un fort développement musculaire et un état d’engraissement modéré. Les caractéristiques d’une carcasse attendues par l’abatteur sont un rendement de découpe élevé et des frais de stockage limités. La quantité de viande issue d’une carcasse et la proportion de muscles à très haute valeur marchande sont importantes pour le revendeur. En outre, ce dernier cherche à satisfaire les attentes supposées du consommateur, notamment sur les critères de qualité de la viande en bouche. Or, dans la plupart des cas, les propriétés des carcasses n’ont que peu de lien avec les attentes des consommateurs en termes de qualité sensorielle (Bonny et al., 2016a ; Guzek et al., 2016).
Aucun événement |
Pour Accéder au site V&PC depuis votre smartphone,
veuillez scanner ce flashcode.