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Le CIV - Viande, Sciences et Société - a publié en 2016 un Cahier intitulé "Zoonoses et animaux d’élevage". Cet article présente une synthèse de sa troisième partie.
Les zoonoses sont des maladies dont l’importance, en santé animale et en santé publique, est établie et reconnue. Malgré des progrès scientifiques considérables dans la compréhension de leurs mécanismes et la mise en place de dispositifs de protection pour les animaux d’élevage de plus en plus performants (surveillance et lutte), l’émergence et le développement des zoonoses constituent toujours une menace sanitaire majeure pour l’Homme. Avec la poursuite de l’augmentation de la population mondiale et l’évolution de ses modes de vie et de son environnement, ce risque devrait s’accroître notablement dans les années à venir. En effet, selon l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE), 60% des 1 400 agents pathogènes pour l’Homme sont d’origine animale et 75% des maladies animales émergentes peuvent se transmettre à l’Homme.
I.1. Définition
Depuis 1959 pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et depuis 1992 pour l’Union européenne (UE), les zoonoses sont définies comme (d’après Ruvoën, 2015) :
Notons enfin que certaines maladies humaines sont dues à un agent zoonotique ayant évolué à partir d’un réservoir animal. Suite à une/des mutation(s), la transmission de l’agent devient alors exclusivement humaine (ex : sida, variole, grippe humaine) (Figure 1).
Pour définir les zoonoses, certains auteurs tiennent davantage compte des agents zoonotiques. Ils insistent tout particulièrement sur leur circulation entre l’Homme et un ou plusieurs animaux vertébrés, quelles qu’en soient les conséquences (maladie ou simple portage) et les modalités de contamination (par contact direct ou indirect, par l’alimentation, etc.). Les zoonoses sont ainsi définies comme des maladies, des infections ou des infestations provoquées par des agents transmissibles se développant au moins chez deux espèces de vertébrés dont l’Homme (Carlier, 2012 ; Savey et Dufour, 2004 ; Savey et al., 2010).
Les mécanismes d’action des zoonoses sont rappelés sur la Figure 2.
I.2. Panorama des zoonoses majeures au cours des temps
Particulièrement étudiées depuis le XIXème siècle et les travaux de Pasteur sur la rage et le charbon, les preuves de l’existence des zoonoses remontent en fait à la Préhistoire (Figure 1).
Selon l’OIE, 60% des 1 400 agents pathogènes pour l’Homme sont d’origine animale et 75% des maladies animales émergentes peuvent se transmettre à l’Homme.
A noter également, qu’au sein des maladies émergentes, les zoonoses occupent une place particulière et leur importance tend à augmenter mécaniquement. La fréquence des maladies émergentes s’accroit depuis 1940 avec un pic dans les années quatre-vingt-dix, conséquence d’une meilleure détection d’une part et d’une intensification des échanges d’autre part. Entre 1940 et 2004, près de 330 nouvelles maladies infectieuses ont été découvertes, dont 60% sont des zoonoses provenant à 70% de la faune sauvage (Keller, 2012).
Seuls les principaux facteurs sont ci-après mentionnés. On notera que l’Homme est l’un des contributeurs clés de ce développement en raison de l’augmentation constante de sa population, de ses actions et de ses modes de vie.
II.1. La démographie et la concentration urbaine
La population humaine est en constante augmentation passant, selon les projections de l’Organisation des Nations-Unies (ONU), de 6,5 milliards d’individus en 2012 à près de 9 milliards d’individus en 2050 (Figure 3). Cette population a par ailleurs tendance à se rassembler en de vastes mégalopoles (Figure 4). Depuis 2010, l’ONU estime que plus de la moitié de la population vit en ville. La plupart de ces fortes densités de population sont situées dans les Pays du Sud, à proximité de zones présentant une forte biodiversité ou encore occupées par la faune sauvage (Keller, 2012). Or, cette faune constitue le réservoir majeur des agents zoonotiques (Chardon et Brugère, 2016). Cette concentration et cette proximité favorisent une circulation rapide et efficace des agents zoonotiques de l’animal vers l’Homme. De plus, la conjugaison de systèmes sanitaires souvent absents ou insuffisants et l’existence d’inégalités sociales à l’intérieur des villes ou entre villes et campagnes, offrent un terrain propice à l’apparition de zoonoses et à l’amplification des épidémies (Keller, 2012).
II.2. Les déplacements urbains
Les déplacements de population humaine sont massifs et recouvrent des situations variées comme par exemple le tourisme, les pèlerinages religieux, les déplacements professionnels et les migrations contraintes (conflits politiques, modifications climatiques, pression démographique et rareté des ressources, etc.). D’après l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), le trafic de passagers transportés par avion progresse chaque année, avec + 5,5% en 2013, + 5,8% 2014 et + 8% en 2015 (OACI, 2015). Le rapport d’information du Sénat n° 638 du 5 juillet 2012 estime quant à lui qu’à l’heure actuelle 200 millions de personnes vivent en dehors du pays où elles sont nées (Keller, 2012). Ces migrations concourent au développement des zoonoses de deux façons :
II.3. Les pratiques agricoles
Au plan mondial, compte tenu de l’augmentation de la population humaine et de l’amélioration de son pouvoir d’achat, la demande en protéines animales s’accroit. Cette tendance, qui a concerné les pays développés au cours du XXème siècle, se généralise aujourd’hui dans les pays en transition et aux pays émergents (Combris, 2013). En lien avec une intensification des productions animales, des élevages de plus en plus grands et de plus en plus denses favorisent la diffusion rapide et à grande échelle d’agents zoonotiques. Cela pourrait par exemple être le cas de l’épidémie d’influenza aviaire H7N9 en Chine continentale depuis 2013. Causée par une très grande promiscuité entre l’Homme et les volailles dans les fermes et les marchés d’animaux, elle a engendré la perte de millions de volailles et 1400 cas humains (500 décès). Une mutation permettrait d’expliquer pourquoi le virus circule de façon très efficace chez les volailles et pourquoi il peut franchir plus facilement la barrière inter-espèce et se transmettre à l’homme (France Diplomatie, 2017).
En outre, l’augmentation du cheptel induit une forte hausse du volume des déjections animales. Ces effluents d’élevage sont souvent utilisés pour fertiliser les sols. Le risque de contamination de l’environnement et la diffusion des agents zoonotiques, pouvant y résister via les déjections, en est d’autant plus augmenté. C’est par exemple le cas des Escherichia coli entérohémorragiques (EHEC). Les EHEC sont des bactéries normalement présentes dans la microflore digestive de nombreux animaux à sang chaud comme les bovins. Excrétées dans les fèces, ces EHEC peuvent être disséminées sur le sol, dans les eaux superficielles et dans les fourrages, ce qui peut alors favoriser la contamination de nouveaux animaux et de l’Homme.
Enfin, la recherche incessante de nouvelles terres cultivables conduit à des déplacements d’hommes et d’animaux entre espaces urbains, agricoles et naturels. Cette situation favorise le développement de maladies infectieuses dont les zoonoses. A titre d’exemple, la conversion des forêts en terres agricoles est devenue massive dans certaines régions du monde (Amazonie et Indonésie par exemple). Cette tendance favorise le contact entre l’Homme et les arthropodes vecteurs comme les moustiques et les tiques, autrefois abrités dans les grandes forêts humides équatoriales. Des rapprochements entre animaux domestiques et animaux sauvages ou encore entre l’Homme et les animaux sauvages comme les grands singes sont aussi possibles.
II.4. La mondialisation des échanges
Comme vu précédemment, les années cinquante ont connu une intensification du transport mondial de personnes (cf. II. 2) mais aussi de biens, d’animaux et de produits d’origine animale. A l’heure actuelle, presque un containeur par seconde franchit un port américain, 72 000 par jour et plus de 26 millions par an (Keller, 2012). Parallèlement à l’expansion du transport maritime, le transport aérien a fortement augmenté.
Quel que soit le mode de transport - voies aérienne, maritime, ferroviaire, routière - les échanges (biens, animaux, produits d’origine animale) peuvent contribuer à la diffusion d’agents zoonotiques et de vecteurs et donc à la propagation de zoonoses (Chardon et Brugère, 2016). Si la plupart des marchandises répondant à la réglementation sanitaire en vigueur peuvent circuler librement entre Etats membres de l’UE, il existe des règles sanitaires spécifiques aux échanges d’animaux vivants ou aux produits d’origine animale. De plus, la législation européenne impose le respect d’un certain nombre de prescriptions en matière d’hygiène des aliments et de protection animale. Elle vise ainsi à protéger les pays destinataires de l’introduction de maladies.
Dans le cadre d’importations et d’exportations (en provenance ou vers des pays tiers) d’animaux vivants, les règles applicables sont très variables et font habituellement l’objet de négociations bilatérales entre pays. Un certificat sanitaire est généralement exigé par le pays destinataire. Par ailleurs, en cas d’apparition d’une maladie, des limitations voire même des interdictions de mouvements entre certains pays peuvent être prononcées (exemple : Directive 2003/43/CE fixant les exigences de police sanitaire applicables aux échanges intracommunautaires et aux importations de sperme d'animaux de l'espèce bovine). De la même façon, pour l’importation ou l’exportation de produits d’origine animale, les exigences réglementaires sont équivalentes à celles appliquées aux échanges européens. Des contrôles sont réalisés au niveau des postes d’inspection frontalier.
Les inspections et contrôles aux frontières des animaux et denrées alimentaires issues d’animaux nécessitent une vigilance permanente pour éviter l’introduction et la dissémination d’agent zoonotique. Notons aussi que des cas de fraude ou de méconnaissance de la règlementation sanitaire, le plus souvent par des particuliers peuvent favoriser le développement de zoonoses (ex : viandes de brousse transportées frauduleusement dans les valises).
II.5. Le changement climatique
Pour les maladies vectorisées, les agents zoonotiques et les vecteurs se développent préférentiellement dans un milieu chaud et humide. Cela pourrait laisser penser que le réchauffement climatique favoriserait leur implantation sur des milieux jusque-là indemnes de certaines maladies, dont les zoonoses. A ce jour, le lien direct entre changement climatique et apparition de nouvelles maladies, comme les zoonoses mais pas seulement, n’est pas établi d’un point de vue scientifique. L’imbrication des facteurs est trop complexe pour que le changement climatique soit seul considéré comme déterminant (Keller, 2012). Malgré tout, ce phénomène induit un élargissement des zones propices au développement des vecteurs ou des animaux (réservoir ou hôte) et pourrait donc contribuer à une augmentation du risque d’apparition de zoonoses (Figure 2).
Notons enfin que l’évolution des relations entre l’Homme et les nouveaux animaux de compagnie (NAC) influence fortement la transmission d’agents zoonotiques à l’Homme.
III.1. Quelles tendances pour demain ?
Compte tenu de ces éléments, le risque d’émergence et de développement de maladies, dont les zoonoses, pourrait être particulièrement important dans les années à venir, notamment dans l’hémisphère Sud. En outre, si entre 1940 et 2004, 350 nouvelles maladies sont apparues, certains auteurs estiment que plus de 320 000 nouveaux virus pourraient encore être découverts chez les mammifères, en dehors de la prise en compte des virus aviaires.
Fort de ce constat, des scénarios globaux ont été établis pour les prochaines années (Figure 5). Quatre conjectures (C) sont ainsi décrites (Lesage, 2014) :
III.2. Quels axes stratégiques pour maîtriser le développement d’une zoonose ?
III.2.1. Améliorer la coordination des politiques publiques
S’il existe des dispositifs de protection de la santé publique vis-à-vis des zoonoses en France et en Europe - avec l’objectif d’anticiper au maximum les tendances "lourdes" mais aussi de détecter les signaux dits faibles et d’anticiper les émergences dans une démarche prospective – leur coordination doit sans cesse être améliorée, avec notamment une transmission de données efficace.
Sur le plan international, les conditions indispensables de la réussite des stratégies de surveillance des maladies infectieuses reposent en particulier sur :
III.2.2. Poursuivre et renforcer la recherche de moyens de prévention et de traitement
La coopération internationale doit notamment porter sur la recherche de médicaments anti-infectieux pour pallier le manque actuel et pouvoir limiter voire éradiquer certaines zoonoses. Concernant les antibiotiques, on note depuis les années 90 un tarissement de la mise sur le marché de nouveaux médicaments pour des raisons scientifiques et économiques. La diminution d’investissements dans ce domaine s’explique notamment par le fait que le développement des antibiotiques est devenu moins rentable pour l’industrie pharmaceutique en comparaison de médicaments ciblant des maladies chroniques. De plus, les antibiotiques les plus faciles à mettre au point ont déjà été commercialisés et les rares nouvelles molécules ont tendance à être réservées aux cas les plus sévères, diminuant d’autant la taille du marché pour les industriels. Enfin, le développement d’une nouvelle molécule prend actuellement en moyenne dix ans, ce qui est un réel frein à l’innovation en antibiothérapies vétérinaire et humaine dans un environnement réglementaire complexe (Chardon et Brugère, 2014). De ce fait, le soutien de l’Etat ou de l’Union européenne à l’innovation pharmaceutique dans le domaine des anti-infectieux, mais aussi dans celui des vaccins et des outils de diagnostic, est nécessaire.
Enfin, la transdisciplinarité devrait être systématiquement encouragée dans la recherche sur les maladies infectieuses émergentes, en y incluant pleinement les sciences humaines et sociales (histoire, sociologie, économie) (Keller, 2012).
III.2.3. Informer le grand-public (prévention, communication, gestion de crise)
En France, la cellule interministérielle de crise (CIC) apprécie la perception d’une crise par l’opinion publique, mesure les attentes des citoyens et des opérateurs vis-à-vis des pouvoirs publics, informe sur l’évènement et les mesures prises et enfin diffuse les recommandations nécessaires. Jusqu’en 2012, le CIC note une coordination insuffisante entre les ministères et un manque de réactivité en matière de communication (Keller, 2012). Pourtant il s’agit d’un levier d’action indispensable à mettre en œuvre en amont des crises sanitaires. Il apparait donc nécessaire que les agences et instituts nationaux dédiés poursuivent leurs actions d’information et de communication sur les grands enjeux de santé publique, de façon coordonnée, et ce tout au long de l’année. En France il s’agit par exemple de l’Anses et de Santé Publique France.
En outre, à l’heure d’Internet, la société semble de moins en moins sensible aux messages émanant d’autorités et particulièrement méfiante vis-à-vis du monde politique mais aussi parfois du monde scientifique. De nouveaux modes de communication et d’échange avec le public sur sa perception des risques doivent par conséquent être développés et diffusés (blogs, réseaux sociaux et autres outils interactifs). Une meilleure prise en compte d’Internet et de ses spécificités spatio-temporelles (information continue et accessible au-delà des frontières nationales), en particulier dans une stratégie d’influence, s’avère en effet indispensable pour anticiper ou faire face à une crise sanitaire.
Enfin selon le rapport sénatorial, les décideurs politiques devraient renforcer la veille en temps réel des informations disponibles sur Internet afin de prévenir toute propagation d’une fausse menace sanitaire propice à alimenter les fantasmes et à créer la panique (Keller, 2012). L’efficacité d’une campagne de prévention ou d’information en cas de crise dépend en effet de l’adéquation du message aux différents publics concernés. Autrement dit : un message homogène vis-à-vis d’un public hétérogène.
Compte tenu de l’évolution des comportements humains, le risque d’émergence et de développement des zoonoses pourrait continuer à être important dans les années à venir, notamment dans l’hémisphère Sud.
Plus que jamais, l’effort de recherche et de surveillance autour des zoonoses doit être accru, associant étroitement les aspects humain et animal. Ces questionnements devront permettre de comprendre les nouveaux facteurs de développement, de nourrir l’analyse de risque et finalement, comme par le passé, d’élaborer ou bien d’améliorer les indispensables instruments de maîtrise agissant sur l’ensemble du cycle zoonotique en fonction d’une stratégie cohérente, adaptée à chaque situation, au service de la santé publique (Savey, 2010). Cela devra par ailleurs impliquer une transparence accrue entre les pays, le renforcement de la coopération internationale, une implication des autorités compétentes et des opérateurs concernés dans la gestion des risques. Sans oublier pour autant la nécessité d’informer et de communiquer régulièrement, et de façon coordonnée, auprès du grand public sur les enjeux liés aux zoonoses.
Si la maîtrise et la lutte contre les zoonoses constituent un défi majeur, elles représentent par voie de conséquence également une opportunité : la mise en place de nouveaux partenariats de recherche entre secteurs publics / privés et de coordination sanitaire entre pays ; l’identification de nouveaux outils de diagnostic et de contrôle ; le renforcement du maillage territorial de surveillance ; ou encore l’amélioration de l’enseignement et de la formation (Camus et Lancelot, 2007).
Références :
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Colomb-Cotinat M., Le Hello S., Rosières X., Lailler R., Weill F.X., Jourdan-Da Silva N. (2013). Salmonelloses chez des jeunes enfants et exposition aux reptiles domestiques : investigation en France métropolitaine en 2012. BEH 1-2 du 7 janvier 2014.
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Lesage M. (2014). Zoonoses émergentes et réémergentes : enjeux et perspectives. Centre d’études et de prospective, 66, Janvier 2014
Lesage M. (2015). Enjeux et perspectives des maladies émergentes et ré-émergentes, approche prospective. In : Maladies émergentes et réémergentes : Enjeux pour les praticiens de la santé publique vétérinaire. SVPF, Paris le 3 juin 2015.
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Ruvoën N. (2015). Zoonoses. Une diversité de maladies. In : 11e édition du Congrès National de la Société Française de Microbiologie, Paris, 24 mars 2015.
Savey M., Dufour B. (2004). Diversité des zoonoses. Définitions et conséquences pour la surveillance et la lutte. Epidémiologie et santé animale, 46, 1-16.
Savey M., Martin P., Desenclos J.C. (2010). De l’agent zoonotique aux zoonoses. Diversité et unicité d’un concept en pleine évolution. BEH Hors-série du 14 septembre 2010, 3-5 & Bulletin épidémiologique hebdomadaire. Spécial zoonoses, 38, 2-5.
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