
| Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract |
Harris Interactive a présenté le 31 janvier 2017 les résultats d’une étude d’opinion sur l’évolution des usages alimentaires des Français qui fait apparaître que près de la moitié des personnes interrogées ont modifié leur comportement à la suite des récents scandales et crises alimentaires.
Les principales conclusions de l’étude réalisée par l’institut d’études Harris Interactive sur "les pratiques alimentaires d’aujourd’hui et de demain" ont été publiées le 31 janvier 2017[1]. Cette étude s’appuie sur une enquête réalisée en ligne du 12 au 21 octobre 2016 auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, à partir de "l’access panel Harris Interactive"[2] La méthode des quotas et redressement a été appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région d’habitation de l’interviewé(e) et catégorie d’agglomération. L’étude a été enrichie par des paroles d’experts issues d’une étude documentaire interne du "Desk Research" de l’institut et des immersions ethnographiques consommateurs filmées par Harris Interactive. A noter que le nombre relativement faible de répondants sur la pratique d’un régime relativise la fiabilité des réponses.
| Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract |
Ce dossier préalablement publié par l’Inra http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Systemes-agricoles/Tous-les-dossiers/Fausse-viande-ou-vrai-elevage propose des éléments de réflexion sur un sujet de préoccupation croissant dans nos sociétés occidentales : l’élevage et la consommation de viande. En tissant des liens entre différents résultats de recherche, il dégage, non pas des réponses simples, mais quelques pistes sur lesquelles on peut s'appuyer pour construire son propre point de vue.
Aux questions légitimes posées avec de plus en plus d’acuité sur l’élevage et la consommation de viande, on ne peut se contenter de répondre par des slogans simplistes. Ces questions sont complexes parce que notre rapport à l’animal est complexe et questionne la place de l’homme parmi les autres espèces. Tuer un animal pour le manger après l’avoir élevé, même si cet animal n’existerait pas sans cette finalité, n’est pas un acte banal. S’opposer à cet acte peut conduire à refuser la consommation de viande et de produits animaux. Cependant, un choix acceptable à titre individuel doit-il s’imposer collectivement et à l’échelle mondiale ? Justifie-t-il d’instruire de mauvais procès à la viande et à l’élevage, jusqu’à en prôner la disparition complète ? Parmi les mauvais procès, on trouve des slogans tels que : la viande ruine la santé, la viande gaspille les ressources et affame la planète, l’élevage la détruit.
| Résumé de l'article | Article au format livre flash | Article au format pdf | Abstract |
Le CIV a organisé en mai 2016 un colloque sur le thème : "Animal, viande et société : des liens qui s’effilochent". Ce résumé présente brièvement trois angles d’analyse dégagés par les intervenants : le carnisme comme nouveau problème public, une consommation qui se complexifie et un profond changement d’époque qui influe sur les conceptions de l’Homme et des animaux que nous avons aujourd’hui.
Le 31 mai 2016 à l’Institut Pasteur, le colloque du CIV Viande, Sciences et Société s’est déroulé en trois temps. D’abord il a posé les éléments de structures propres à notre société qui caractérisent et déterminent historiquement les relations entre les hommes et les animaux de boucherie. Ensuite ont été analysés les arbitrages réellement faits par les consommateurs et les acteurs de la distribution. Enfin, la réflexion a été déportée en s’interrogeant sur le sens philosophique des conceptions que les hommes ont aujourd’hui d’eux-mêmes et de leur relation aux animaux de boucherie.
No events |
Pour Accéder au site V&PC depuis votre smartphone,
veuillez scanner ce flashcode.